Sans parler des cas exceptionnels que représentent celle de Princeton (lancée il y a 250 ans, elle gère 15 milliards de dollars d’actifs, dont 20% investis dans le non coté), de Yale (rendement moyen de 30,6%), de l’université de l’Illinois (30% des actifs en non coté) ou bien encore Harvard (4 milliards en non coté sur un total de 35 milliards d’actifs), 68% des fondations des universités américaines prévoient d’investir au moins 11% de leurs avoirs dans cette classe d’actifs, et plus au fur et à mesure que leurs fonds croissent.
Le rendement sur investissements réalisés leur permet de couvrir plus du 1/3 de leur budget de fonctionnement !
Parmi les raisons qui expliquent ce résultat figurent :
– Une attitude générique qui, à la différence des investisseurs institutionnels classiques, n’a pas pour visée la préservation du capital
– Un goût avéré pour le risque, tempéré par le fait que la sélection des investissements réalisés est largement suggérée et validée par le réseau de ceux des anciens étudiants qui ont rejoint les structures d’investissement.